Duff Anderson, un jeune Noir, gagne sa vie en travaillant dans les chemins de fer. Un jour, il rencontre Josie, la fille d’un prêtre Noir, passionnée par son métier d’institutrice. Duff et Josie s’éprennent l’un de l’autre et décident de se marier. Ils s’installent en ville mais Duff se rebelle rapidement car il semble avoir quelques difficultés à vivre entouré de Blancs…

L’un des meilleurs films sur la condition des Afro-Américains. Film préféré de Malcolm X, il a été récompensé au Festival de Venise avec le prix San Giorgio, attribué aux films particulièrement importants pour le progrès de la civilisation.

Les aventures d’Harry Plotnick, médiocre escroc qui retrouve, après un bref séjour en prison, son univers bouleversé. Il va vivre une série de situations cocasses dans cette satire du milieu juif new-yorkais jouée par des comédiens amateurs.

La  « jewish comedy » de Michael Roemer, une satire originale très pince-sans-rire agencée en tableautins plus ou moins libres.

Tentant sans succès de refermer d’anciennes blessures familiales lors d’un voyage vers Rhode Island, lieu de son enfance misérable, Jo, récemment divorcée, se lie d’amitié avec sa voisine Donna, artiste psychologiquement fragile. Mais elle se retrouve bientôt mêlée à un autre drame familial…

Le dysfonctionnement familial est peut-être le fil rouge de la carrière de Michael Roemer, comme une trace de sa propre enfance disloquée entre la séparation de ses parents et son exil forcé. La maîtrise du cinéaste formelle du cinéaste atteint ici son apogée, influencée par Ingmar Bergman et Henri James. Une redécouverte majeure.