Quand le collectif Rosmerta décide de réquisitionner au diocèse d’Avignon, grand propriétaire, des locaux inhabités depuis 2 ans, ils ne savent pas combien de temps, ils pourront proposer un abri aux mineurs non accompagnés et aux familles exilées à la rue. Pourtant, malgré cette précarité, s’installe petit à petit un quotidien rythmé par les nouvelles arrivées, le suivi des papiers d’identité, le désir de scolarité de ces jeunes et la gestion d’un lieu de vie... Jusqu’à la réception de l’avis d’expulsion..